Nouvel itinéraire à DOUELLE en QUERCY ce mercredi 30/10/2019 dans l'après-midi.
Seize adhérents des SENTIERS CRAYSSACOIS avaient fait le déplacement pour accomplir 13, 000 kilomètres à la moyenne de 5, 53 km/h ( 7, 42 km/h en vitesse maximum.) pour une dénivelée de 300 mètres ( 210 + et 210 - ).
Temps bouché et lourd avec un très léger vent en fin de parcours.
Température de 17° à 16°.
Circuit exigeant pour le corps avec des parties ascensionnelles nouvelles et caillouteuses.
Animation de MARIANNE et DOMINIQUE.
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| Après deux kilomètres environs de plat. |
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| Ça va monter! |
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| Sol caillouteux qui nous fait perdre plus de 30% de l' efficacité de la poussée pour la marche. |
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| Gros travail alors avec les bâtons. |
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| Les chevilles et les membres inférieurs sont soumis à rude épreuve! |
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| A la recherche des zones stables. |
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| Ça monte encore! |
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| De l'espace! |
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| Quelques ruines dans un passage boisé. Village abandonné de Madère. |
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| On va bientôt rejoindre le tracé de l'ancienne voie ferroviaire Cahors-Monsempron-Libos. |
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| On longe le Lot jusqu'à DOUELLE. |
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| A dimanche si votre cœur ne flanche! Et s'il ne pleut pas! |
A propos de la traversée intrigante du village en ruine de Madère à DOUELLE, une explication prestigieuse:
RépondreSupprimerEn 1979, l’économiste Jean Fourastié (1907-1990) fait une saisissante comparaison entre la France des années 1946-1950 et celle des années 1975-1978, à partir de l’exemple de deux villages, Madère et Cessac, en réalité celui de Douelle pris à trente ans d’écart. Il se demande : « Ne doit-on pas dire glorieuses les trente années qui ont fait passer et Douelle et la France de la pauvreté millénaire, de la vie végétative traditionnelle aux niveaux de vie et aux genres de vie contemporains ? » La « société de consommation » est née, « semblant promettre à ses membres une acquisition sans limites ». Revenant ensuite sur les caractéristiques de ces « deux France » (en termes de démographie, de temps de travail, de structure de la population active, de genre de vie ou de structure de la consommation), Fourastié fournit l’explication suivante : l’accroissement de la productivité est la condition nécessaire à la croissance de la consommation par tête, c’est-à-dire du niveau de vie et du pouvoir d’achat des salariés.
Ce jeu subtil entre production, consommation, productivité et migrations professionnelles, moteur de la croissance des « trente glorieuses », est décrit par Fourastié dès 1945. Tout en sensibilisant les Français aux grands problèmes économiques par ses essais destinés au « grand public », il exerce aussi une forte influence sur les élites technocratiques qu’il forme tant à Science-Po qu’à l’École nationale d’administration (ENA) ou au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)…
L' analyse détaillée de Jean Fourastié ici :
RépondreSupprimerhttp://www.fourastie-sauvy.org/reference/textesjean/11-30glorieuses